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Les responsables et les parents du club des Feux follets ne sont pas peu fiers de leurs gyms. Le 27 avril, les poussines se sont taillé une deuxième place au niveau régional derrière le club de La Baule. Ce concours était organisé par L’AJA de Montaigu et rassemblait les meilleures équipes de la région sur « un niveau comparable à un championnat de France ». Il faut dire que les poussines avaient pris le chemin des podiums dès les premières compétitions d’hiver. Les quatre équipes inscrites au challenge départemental avaient été sélectionnées pour participer aux régionaux, début avril à Venansault. L’une de ces équipes composée de filles pratiquant la gym pour la première année termine 6e sur 12, déjà un petit exploit ! Deux autres équipes se classent premières dans leur catégorie et une autre finit sur la troisième marche du podium. Elles suivent le chemin tracé par les groupes jeunesses et aînées qui depuis déjà pas mal d’années portent les couleurs Venansaltaises au niveau régional et national.

Dans le calendrier de fin de saison, il y a justement la participation d’une équipe jeunesse au championnat de France FSCF à Valognes les 28 et 29 juin. Plus près, il y aura les concours départementaux à Aizenay, les 24 et 25 mai et le gala de fin de saison le 20 juin.

 Juin 1989, la Société Ouvrard basée à Antigny reprend une partie l’activité de la Symta. Le premier avril, la nouvelle agence s’installe sur la zone de la France. Jean-Guy Bécaud fait partie des treize salariés qui intègrent les nouveaux bâtiments. Depuis le 31 mars, il a fait valoir ses droits à la retraite. Vendredi soir Claude Ouvrard, devant les principaux responsables de l’entreprise et les salariés de l’agence de Venansault a retracé le parcours du nouveau retraité. Au travail dès 14 ans, Jean-Guy connaîtra différents milieux professionnels, le bâtiment, la marine, le haras, l’usine. C’est au retour du service militaire qu’il trouve sa voie définitive. Il entre comme aide-maganisier aux Ets Mélin en zone sud, à la Roche-sur-Yon. À la disparition de l’entreprise, il rejoint la société MIGAUD à l’Absie pour trois ans et après un court passage chez Volvo intègre la société Ouvrard au 1er janvier 1990. Claude Ouvrard a rappelé les compétences qu’il avait du mettre en œuvre pour «gérer les 170 000 références inscrites au catalogue» et l’a remercié «pour le travail réalisé au profit de l’entreprise.» A l’heure des cadeaux Jean-Guy s’est vu remettre un laveur haute-pression et son épouse une composition florale.

Familles rurales propose aux 13 - 16 ans un camp en Alsace et il reste encore quelques places. Il aura lieu du 7 au 21 juillet. L’hébergement se fait sous tentes. Parmi les activités proposées, on notera la visite d’Europa park en Allemagne, des randonnées avec bivouac, piscine, nuit à la belle étoile, paint-ball miniature, grands jeux, jeu de nuit, veillées… Le prix de revient du camp est de 510 €. Pour les jeunes de la commune, il faut déduire une aide municipale de 160 € dans le cadre du contrat enfance jeunesse. La somme restant à la charge de la famille est ensuite calculée en fonction du quotient familial. D’autres aides de la Caf, de la MSA ou des comités d’entreprise peuvent également intervenir. Contact : maison de l’animation au 02 51 07 25 63

« J’ai prié toute la nuit. » Dimanche matin ce responsable du Centre cantonal des jeunes agriculteurs est radieux. Les grosses averses ont épargné le départ des quatre randonnées VTT et des deux circuits pédestres qui ont rassemblé une centaine de personnes. Pour le CCJA le but était de « se refaire une petite santé financière, organiser quelque chose ensemble et intégrer les nouveaux responsables jeunes qui viennent de rejoindre l’équipe ». Dans les années passées, le groupe organisait un labyrinthe maïs. Aux côtés des tables d’inscriptions pour les randos, les jeunes avaient invité les donneurs de sang qui ont trouvé là le moyen de promouvoir leur action.

Marthe et Henri Girard sont engagés dans une action agro-environnementale à Guié au sein de l’AZN, une association de huit villages burkinabés. Et puis un jour, d’un village voisin arrive un homme veuf qui a des jumeaux. L’un d’entre eux décède. Il ne peut plus nourrir l’autre. Il le confie à Marthe Girard. La pouponnière de Guié est née. C’était en 1995. Depuis 1993, AZN s’intéressait déjà à l’enfance en détresse. Désormais outre la partie agricole, l’action de l’association se porte sur trois thèmes : l’éducation avec le Centre d’Instruction et d’éducation rural, l’aide à l’enfance en détresse avec Le Centre de récupération et d’éducation nutritionnelle et la pouponnière. Vendredi soir, Marthe est venue expliquer aux quatre-vingts personnes venues la rencontrer que son but est de « donner de l’espoir à l’enfant », « lui redonner sa dignité et tout le respect qu’il est en droit d’attendre », « lui donner un projet de vie ».

Mais cela un coût, le budget de la structure est de quatre-vingt mille euros et les subventions d’état en couvrent tout juste 1 %. Autant dire que l’aide venue des associations humanitaires est la bienvenue. Exemple celle de Savena qui, en trois envois, a fait parvenir cinq tonnes de lait, denrée rare et chère au Burkina. Parlant aussi de l’adoption, elle a rappelé qu’au Burkina, elle était bien encadrée et que des dérives observées ailleurs ne pouvaient avoir lieu dans son pays. Pour mieux connaître AZN : www.azn-guie-burkina.org et pour contacter Savena : 02 51 07 34 40 ou 02 51 98 10 92.

Savena met les bouchées doubles dans son action conduite en direction du Burkina. Elle profite du passage en France de Marthe Girard responsable de l’orphelinat de Guié. Vendredi soir, elle interviendra à la salle des Acacias pour présenter la structure, son histoire, son évolution, son fonctionnement. Elle insistera sur l’importance de l’aide apportée par les associations humanitaires et la manière dont elle est utilisée. Cette conférence est ouverte à tous, elle est gratuite, ouverte à tous et se terminera par un apéritif dînatoire.

La seconde date à retenir est le concert intitulé « Chansons pour l’Afrique » qui aura lieu le samedi 19 avril à 20 h 30 à la salle des Acacias où trois groupes seront bénévolement sur scène avec des variétés françaises et anglo-saxonnes. Entrée, 5 €.

Lundi la nouvelle municipalité a rencontré le personnel communal. Tour de table et présentations réciproques ont permis une bonne première prise de contact pour certains. Pour d’autres elle s’était effectuée dès les premières heures de la collaboration. Cette petite cérémonie est l’occasion de découvrir plus en détail ce qu’on appelle les services municipaux. Les services techniques, vlirie, bâtiments et espaces verts placés sous la responsabilité Médard Rambaud comprend dix agents et un apprenti. Le service animation, sport, jeunesse, enfance et bibliothèque. Le service entretien des différentes salles et les agents qui interviennent dans les écoles sont au nombre de douze. Le service administratif, sous la responsabilité de Karine Gaboriau, regroupe sept personnes. Trente-six agents émargent ainsi au budget communal proprement dit pour trente équivalents temps plein.
Karine Gaboriau en terminant la présentation a assuré le maire que les agents étaient « motivés et compétents » « conscients de leurs tâches et rigoureux » et qu’elle trouvait dans l’équipe « une solidarité incomparable ». En concluant le maire a confirmé que la collaboration « se poursuivrait dans la continuité » et a demandé au personnel de « ne pas hésiter à parler et interpeller les élus » en cas de difficulté.